65.) 14/12/19 Les reliquaires sacrés
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Deuxième partie:
Après avoir finalement trouvé leur chemin à travers les pièges de la surface du labyrinthe et exploré le premier temple qui n'était qu'un temple factice, les compagnons se dirige vers le suivant.
D'étranges insectes semblent avoir pris possession des gardiens du temple mais au terme de plusieurs embuscades les compagnons finissent par mettre la main sur la vielle pièce enchâssée dans un médaillon et vénérée par ses dévots fanatiques.
Une piece récupérée dans le deuxieme temple, les compagnons poursuivent plein sud en direction d'un nouveau temple afin d'en recueillir un maximum.
Ils ont remarqué un humanoide en habits de pretre lévitant juste au dessus du premier temple.
Ils entendent un sifflement.
Puis ils voient une meute de chiens esquiveurs suivant le chemin qu'ils avaient emprunté entre le premier et le second temple.
Ceux ci se déplacent de façon un peu erratique, en se téléportant tous par petits sauts.
Bartomar reconnait l'équivalent d'un sort de porte dimensionnelle.
Ils progressent vite !
Les compagnons les entendent japper comme s'ils discutaient entre eux.
Norfindel décide d'en flecher un.
Hélas au tour suivant ils se téléportent tous au contact des compagnons.
Un combat s'engage.
Quelques compagnons s'envolent au moyen d'un sort de vol et la druidesse et Yasha son compagnon animal restent pour encaisser l'assaut.
Ces chiens semblent partiellement éthéré et sont difficile à toucher. Ils s'echangent perpétuellement les places tout en gardant les compagnons en tenaille et il est particulierement difficile d'en cibler un précisément.
Cependant ils ne semblent pas une grande menace, grace à un sort de peau de diamant Yasha ne prend aucun dommage du combat
Quand les chiens sont tous blessés et que quelques uns sont tombés les compagnons entendent un fort jappement et tous les chiens disparaissent de leur vue.
Après une minute pour s'assurer qu'ils ne reviennent pas, Norfindel et Bartmar décident de partir à la chasse au pretre en lévitation au dessus du premier temple.
Celui ci leur lance deux boule de feu puis redescend rapidement lorsque Norfindel lui décoche ses premières flèches.
Lorsque les compagnons arrivent au temple il n'y a plus trace ni du lanceur de sort ni des chiens.
Le temple est totalement vide.
Pendant ce temps Rowena remarque des mouvements de troupe à la sortie du troisieme temple, celui vers lequel ils se dirigeaient.
Des prêtres armés notamment d'arc sortent en masse.
Puis cela sort à nouveau en masse d'un temple à coté.
Puis c'est un troisieme détachement qui sort d'un autre temple et ils commencent tous à faire marche ordonnée en direction des compagnons.
Les compagnons se rejoignent et décident de fuir avec Rowena et Yasha à pied.
Ils commencent à risquer de se faire encerclé et au premier piège sur le chemin principal d'une maille du labyrinthe, pour éviter d'être ralentis, Bartomar use d'un sort de vol sur Yasha pour gagner en rapidité.
Les compagnons se dirigent vers le premier temple que le groupe mené par oscar devait explorer.
Un cadavre gît à l'entrée et le temple est vide hormis des corps de pretres.
Les compagnons longent le grand mur du labyrinthe et dans le second temple c'est un véritable carnage, les gardiens y ont été découpé un morceaux.
Toujours sous la pression des bataillons qui les porsuivent et longeant le mur du labyrinthe ils trouvent le troisieme temple totalement desert.
Devant le quatrieme un cadavre a été capé là pour faire illusion. Devant et dans le cinquième c'est de multiples explosion qui semblent avoir tués les gardiens.
A nouveau une boucherie, un autre mannequin et c'est finalement dans le huitième temple qu'ils retrouvent l'humanoïde insectoïde, qui, sans leur dire un mot évidemment leur désigne la direction du temple suivant lorsque les compagnons lui demande où est oscar.
Le groupe d'oscar n'a pas chaumé.
Les compagnons trouvent donc Oscar et Mister Green, alias Akarat, en grande dicussion et constatant les détachements de prêtres en mouvement tout le monde convient de descendre dans le labyrinthe pour laisser passer l'orage et s'y faire oublier en prenant un peu de repos.