Bon le MJ m'a donné le feu vert pour poster, je m'excuse d'avance pour les erreurs et les oublis.
MJ (Dorian)
Capitaine Giuseppe Andrea Florio di Kaligari (Marmoth)
Brynyolf Henderson (Antonin)
Ymrik O'Hurchadha (Ezekhiel)
Eijrik Vladsen (Bahralt)
Montaigne, pays de la mode et de la culture. Puissance majeure au système sociale avec d'un côté les puissants et de l'autre les serfs, les crève-la-faim.
C'est dans le port de Muguet, grand chantier naval ainsi que chef-lieu du duché de Lorie, que débarquent un équipage d'un navire vodacce. Le Capitaine Giuseppe Andrea Florio di Kalagari (Marmoth) se tient aux côtés de sa dame Clarisa Raquel di Kaligari. Les accompagnent, le chavalier du graal d'Inismore, Ymrik O'Hurchadha (Ezekhiel), flanqués de deux camarades vestenmananvnjars, un berzerker nommé Brynyolf Henderson (Antonin) et d'un scalde appelé Eijrik Vladsen (Bahralt).
Le Capitaine vodacce annonce qu'il va aller se présenter au duc local, Victor Lévêque de Lorie, chose que souhaite également le scalde. Leurs deux camarades leurs tiendront compagnie.
Une fois arrivés aux porte du palais chacun remarque la puissante garde ducale. Alors qu'ils entrent et suivent le chemin indiqué par le serviteur, pour aller à la salle de réception privée du duc. Les comparses sont cibles de rire de courtisans encadrant une magnifique femme à la mode montaginoise, Adéliadis Petronia Fassequel, les interpelle et les questionnent sur leur venue, cherchant également tout propos qui pourrait être interpréter comme prétexte pour des querelles entre nobles. Après ce court mais redoutable échange, les arrivants quittent la foule de courtisans pour rencontrer le duc local qui revenant certainement de la chasse les reçoit.
Suite aux présentations et à une proposition commerciale de Giuseppe, le duc demande l'assistance, ainsi que la discrétion des quatre hommes pour qu'ils enquêtent sur le sort du docteur et médecin Rémy de Muguet, un nobliau qui partit dans une expédition il y a un an et qui ne donna pas signe de vie depuis. De plus le de Lorie craint qu'il ne soit victime prochainement de complot et ne porte guère en son cœur l'une de ses invités, Adéliadis. Après avoir accepté cette requête, le duc prend congé et fait visité les lieux à Clarisa qui restera au château ducale. Ymrik discute avec Albert, le domestique présent durant la rencontre, pour obtenir des informations sur l'expédition et sur qui pourrait le renseigner. C'est ainsi qu'il obtiendra moyen de rencontrer la servante attitrée à Mme Fassequel, puisque cette dernière fut à l'origine de l'expédition de six personnes d'il y a un an.
Les comparses sont ensuite passé à l'auberge tenu par Michel, le tavergiste, celui-ci ne saura donner autre information que de conseiller de parler aux voisins du médecin. Sa fille étant malade, il souhaite aux nouveaux venus de réussir à trouver sain et sauf le docteur. Le capitaine est retourné au bateau pour s'assurer qu'il n'y ai pas eu de soucis avec les marchandises. Une fois devant le logis de Rémy de Muguet, ils interrogent un premier couple de voisins qui leurs apprend qu'il y a eu grand bruit la veille, ainsi qu'il y a trois mois, puis vient une discussion avec la femme tenant la maison en face de celle du médecin. Celle-ci explique qu'elle pense Mr. De Muguet de retour mais ne l'a pas encore vu. Elle invite à déjeuner les trois hommes, seul Eijrik accepte. Ce dernier fera la rencontre de Vincent Tanneur, fils de la femme mais également mousquetaire du roi qui sera prochainement envoyé sur le front castillan. Le jeune homme déconseille au Vestenmannavnjar d'aller à la cour et compare celle-ci à un nid de vipères. Alors que le scalde mange, ces deux compagnons accompagnés par la première voisine qui leurs sert de témoin pour éviter que leurs agissements paraissent étrange. Ils visitent une maison dans laquelle tout a été enlevé à l'exception d'un fatras d'affaires sous l’escalier, ainsi que deux bibliothèques vides dans la même pièce, et un bureau dans la pièce du même nom à l'étage. Ce dernier semble avoir un tiroir bloqué, l'Inismorien attire l'attention de leur témoin au rez-de-chaussée à propos d'une pièce qu'il devrait y avoir et trouve une porte murée derrière une bibliothèque. Pendant ce temps là, Brynyolf force le tiroir et y trouve une clef en fer. Il remarque également qu'un dalle du mur a coulissé et donne accès un une alcôve dans laquelle il trouve une inscription sur un morceau de papier :
« De celui qui me révélera au monde. Ma sapience rayonnera sur les âmes. Redoutant les fléaux, combattant l'infâme. Avec nos douze épées levées au firmament. Ma présence en vos cœurs d'un feu ardent, nous apportons la foi du Très Grand au monde. »
Le berzerker retourne auprès de la femme et de son camarade qui demande à cette dernière d'aller chercher un moyen pour ouvrir ce mur puisqu'il semble que le murage de la porte semble très récent et peut-être que le professeur ce trouve derrière victime d'un coup odieux. La voisine part donc. Suite à quoi les deux aventuriers vont dans la cour et ouvre une trappe à l'aide de la clef trouvée. Découvrant un nouveau passage sous le jardin, ils s'y engouffrent et y trouvent une immense pièce remplie des meubles de la maison mais également du matériel de médecine mais également de chimie, un extrêmement rare microscope et des ouvrages certains marqués de sang. Au mur un tableau représentant un homme, une femme et sept enfants au bas duquel et marqué Nicholas Poussin. Soudai au milieu du bazar d'affaire, l'air se fend et saigne. Un vent d'outre-tombe souffle et une main gantée sort et semble chercher quelque chose à tâtons. Les deux jeunes hommes surpris décident par deux chemins de plaquer la main, seul Ymrik y arrive et Brynyolf parvint uniquement à tenir son camarade en lutte avec le bras. Malgré leurs efforts la main réussi à se attirer petit à petit ses opposants et la faille sanglante rétrécie. C'est à ce moment que rapplique dans le souterrain, Eijrik qui ordonne à ses compagnons de s'éloigner du portail. Ces derniers l'ignoreront et traverseront la faille qui les mènent à un monde de néant ténébreux et sans sons.
Après quelques instants qui ont semblé durer une éternité, ils tombent d'un second portail dans une pièce d'un luxe qu'ils n'ont jamais vu par le passé. Face à eux quinze mousquetaires royaux les tiennent en joue. Il y a également un homme richement habillé qui à les manches relevées et qui n'a qu'un seul gant l'autre tenu par le chevalier du graal qui lui rend. Le chef des mousquetaire, Sir Philippe, menaçant de sa rapière les eux intrus leurs demande de s'identifier. Après s'être exécutés, ils apprennent au chef qu'ils ont été envoyé pour rechercher Rémy de Muguet qu'ils pensent être Nicholas Poussin. Leur interlocuteur réfute que les deux derniers noms évoqués soient une seule et unique personne. L'homme blessé au bras se tenant près d'un nécessaire de médecine se soigne les bras avec des bandes et avec un liquide contenu sur une bouteille étiquetée « antiseptique ». Il fait partir les mousquetaire et discute avec l'inismorien et le vestenmannavenjar. Il fait également venir par portail le Capitaine Giuseppe Andrea Florio di Kaligari et Eijrik Vladsen qui a récupéré deux livres du sous-sol où il était, une thèse sur la création de « l'antiseptique » (version incomplète) et les notes de l'expédition du 1er juillet 1667 à décembre 1667. S'ensuit une discussion dans laquelle, l'homme ganté n'est nul autre que Maximilien Alexandre de Presse de Ragecour ou le ministre de l'intérieur de l'empereur de Montaigne. Celui-ci leurs apprend qu'il fait parti d'une société secrète « Le Collège Invisible » qui fait en sorte que les savoirs nouveaux et anciens ne tombent pas entre de mauvaises mains, que cette ordre n'est connu que de peu de monde et même l'empereur ne sait pas pour sa place dans l'ordre. Ils apprennent également que Rémy de Muguet, un brillant savant, fut enfermé pour se concentré sur la recherche et après avoir fait de nombreuses découverte dont sa thèse sur l'antiseptique, il serait devenu fou et en aurait fait usage sur le plus de monde possible. Malheureusement suite aux guérisons liées aux découvertes de Rémy certaines rumeurs sur une parenté impériale du docteur sont apparues et elles sont infondées. Le médecin étant un fervent religieux, se serait peut-être donné à l'inquisition de l'Eglise qui n'a plus le même pouvoir en Montaigne depuis que le roi a décidé qu'elle ne devrait pas avoir d'emprise politique dans son pays. Autre information qui leur est révélée après avoir dit que Victor Lévêque de Lorie ne semblait pas apprécié Adéliadis Petronia Fessequel, cette dernière ne travaille pas pour le compte du ministre et montrerait de l'intérêt pour le trône impérial. Elle qui fonda l'expédition de l'an passé, aurait emmené avec elle sa cousine, le fils du duc de Lorie, un autre héritier ducal, ainsi que quelques autres noms en plus de Rémy de Muguet. Seule elle serait revenue d'après les services secrets impériaux.
Alors que les quatre compagnons se regardent, étonnés, après ces nouvelles, Maximilien Alexandre les fait membres de services secrets de Montaigne et du Collège Invisible. Il découvre que tous ne sont pas rompus à la vie de la cour impériale et décide donc de les conduire par les jardins pour éviter les courtisans. C'est au virage d'une haie qu'ils tombent nez à nez avec Léon Alexandre XIV de Montaigne, sa femme, la première et la troisième princesse, ainsi qu'une assistance de courtisans. Le ministre de l'intérieur fait une révérence et enjoint d'un signe discret ses nouveaux subalternes de faire de même. Le Capitaine Giuseppe fait donc. Alors que Ymrik montre signe de faire une révérence élaborée, il est justement conseillé par Eijrik qui en exécute une avec extravagance lui conférant suffisamment de temps pour souffler à l'oreille du chevalier. L'empereur adresse un mot à tous, au premier il sourira sur l'élégance du sud, au deux derniers il saluera les efforts, quant à la deuxième seul une question sort « Mais à quoi correspond cette coutume ? ». Le scalde surpris répond d'un calme simulé mais posé, qu'il s'agit d'un salut des guerriers vestens devant uniquement les plus grands chefs qui méritent signe de soumission, chose rarement effectuée envers un non vestenmannanvnjar. Un courtisan souffle quelque chose à l'oreille de l'empereur soleil qui sourit satisfait. Il invite ensuite Maximilien et ses nouveaux protégés à une réception le soir même. Ce qui conduit donc le groupe à rendre visite au tailleur royal, Eugène Martin Crépin d'Agneau, un sarmartien au goût vestimentaire incertain pour un non habitué de la cour montaginoise. C'est ainsi que quatre heures passent en compromis vestimentaires mais avec la condition de ne pouvoir montrer leurs origines autrement que par les couleurs de leurs pays et de porter le soleil montaginois.
Les quatre nouvellement poudrés se rendent donc avec de Presse de Ragecour à une petite salle de réception où le roi n'est pas encore présent. Ils y font la rencontrent de Camille Blanche Crépin d'Agneau et Estelle Francine Jamais Cisé de Cisé. Cette dernière curieuse des nouveaux à la cour reçoit une réponse attentionné du scalde dont l'effet fut brisé par une réplique de Mme Crépin d'Agneau, spectacle qui lasse ou fait sourire les trois camarades du scalde. Le roi n'étant pas encore présent, ils restent donc quelques minutes à discuter au centre de la pièce, jusqu'à ce qu'ils entendent deux coups deux feu venant des deux entrées de la pièces. Le ministre atteint aux épaules par les deux plombs, choit se qui provoque les réactions des protégés. Le berzerker charge et fend en deux un des deux odieux qui bloque l'une des sorties pendant que le chevalier inismorien d'un ample mouvement dévoilant des couteaux que saisissent le Capitaine et le scalde qui défendent respectivement les jeunes femmes et le ministre, cloue la main d'arme du deuxième pistolero au mur. Un scélérat dissimulé parmi les invités tente d'achever le ministre, sauf que Eijrik s'interposera devant est bloquera la voie à l'assassin. Le vesten voit que son agresseur est un dangereux homme de l'école Valroux et exhortera les nobles à dégainer et protéger le ministre montaginois, ce qui aura comme conséquence qu'il se fasse clouer le pied gauche au sol par la main gauche du vilain. Suite à cela Ymrik dans une tentative hasardeuse, tombera devant sa nouvelle cible, pendant que Brynyolf enserra d'une puissante étreinte l'homme. Malheureusement une bombe arrive dans la pièce et donne une ouverture dans la garde des défenseurs pour permettre au scélérat de fuir. C'est alors que ceux-ci mobilisent leurs efforts pour conduire les courtisans à l'opposé du couloir dans lequel est envoyé l'explosif.
Les mousquetaires arrivent finalement et assurent les environs. Le ministre est emmené auprès du médecin royal. Un messager impérial indique aux quatre héros de la réception que Maximilien est gravement blessé mais sauf et qu'ils sont mandés par l'empereur soleil.
Mer 8 Mai 2019 - 10:28
